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L’implantologie actuelle permet de nous affranchir de nombreuses contraintes, mais une seule reste encore d’actualité, c’est le volume osseux résiduel. Des techniques chirurgicales ont été développées de manière à résoudre ce problème avec des taux de succès plus ou moins variables dans le temps. Est-il possible de trouver une alternative aux techniques de greffe ?
Des solutions ont été proposées en utilisant des implants d’une certaine forme: les mini-implants ou des implants courts. Pour autant ces derniers qu'ils soient de dimensions réduites en longueur ou en diamètre ne représenteraient pas le même succès à long terme qu'avec les implants conventionnels et ne permettraient pas leur utilisation dans des os de qualité inférieure.
De plus, les solutions traditionnelles de reconstruction ou de régénération montrent leurs limites quant à l'invasivité, à la morbidité des sites de prélèvements, à la durée et le suivi des interventions et par-dessus tout au manque de prédictibilité. D’un autre côté tous les principes de l’implantologie moderne sont basés sur une implantologie soustractive, c’est-à-dire que l’on supprime des tissus durs pour y placer des implants. Si ce concept peut rester acceptable dans les cas où les volumes tissulaires sont suffisants, il en est tout autre dans les nombreux cas d’atrophie. L'unique alternative resterait alors une gestion volumétrique différente de l'os résiduel. Il faut de ce fait respecter au maximum le peu de tissus restants ou fonctionnels voire même être en capacité d’optimiser ceux-ci. La question fondamentale serait alors : peut-on réellement obtenir une expansion osseuse ? En d'autres termes : peut-on raisonnablement modeler l'os tout en maintenant ses qualités biologiques et biomécaniques, peut-être même les améliorer ?
L'intérêt majeur de ce concept est que non seulement il permettrait d'éviter des interventions longues, complexes, coûteuses et sans réelle prédictibilité, mais il consentirait de traiter le patient immédiatement. Le traitement implantaire en serait drastiquement réduit en temps. Ce concept pourrait être étendu à l'application de la mise en charge immédiate car les caractéristiques biomécaniques de l'os sont améliorées. [C'est là où réside tout l'intérêt de l'utilisation des lasers grâce à leur sélectivité tissulaire, leur précision et donc mini-invasivité. Nous allons pouvoir de cette façon être très sélectif dans l'élimination de certains tissus mais en même temps avec plus de certitude de ne pas laisser d'autres tissus ou d'éléments contaminants pouvant perturber le processus de régénération par compétition cellulaire.] En fait, que se passe-t-il ?
L’implant est posé avec un couple d’insertion élevé en position infra-crestale avec une approche laser mini-invasive sans lambeau en sous dimensionnant les excisions tissulaires (tissus mous et tissus durs). En cas d’un implant post-extractionel immédiat, le débridement de l’alvéole infectée ou potentiellement contaminée s’effectuera à l’aide de lasers avec 2 longueurs d’ondes différentes. Le premier de la famille des Erbium, ablatif d’action superficielle permettant de vaporiser les tissus de granulation présents dans l’alvéole mais aussi par un scannage systématique de toute la surface de la “lamina dura“ qui contient les fibres de collagène et de Sharpey avec un haut potentiel de contamination. L’effet photo-acoustique de ce laser permettant en quelque sorte de nettoyer toutes les cavités de l’os trabéculaire mais en laissant intacte cette structure calcifiée. Le second de la famille des diodes dans les infra-rouges proches par un balayage de cette même alvéole assurant la décontamination des tissus en profondeur grâce à une pénétration.
Bien sûr le choix de l’implant est fondamental car uniquement un implant répondant à certaines caractéristiques telles que autotaraudant avec des spires agressives, un switching platform avec col inversé ainsi qu’une connexion prothétique hermétique sont autant de prérequis qui ne peuvent que donner un sens cohérent au protocole. Si nous pouvons appliquer ces principes aux protocoles d'implant post-extractionel immédiat en contrôlant la contamination ou l'infection et que les résultats à long terme sont au moins aussi bons qu'avec les protocoles classiques. Alors nous avons un concept qui mérite d'être considéré. L'utilisation du laser avec des techniques chirurgicales appropriées représente cet espoir.
Comment le laser peut de par son utilisation chirurgicale représenter une réelle alternative au manque de volume osseux et aux greffes qui en résultent en thérapeutique implantaire.
L’implantologie actuelle permet de nous affranchir de nombreuses contraintes, mais une seule reste encore d’actualité, c’est le volume osseux résiduel. Des techniques chirurgicales ont été développées de manière à résoudre ce problème avec des taux de succès plus ou moins variables dans le temps. Est-il possible de trouver une alternative aux techniques de greffe ?
Des solutions ont été proposées en utilisant des implants d’une certaine forme: les mini-implants ou des implants courts. Pour autant ces derniers qu'ils soient de dimensions réduites en longueur ou en diamètre ne représenteraient pas le même succès à long terme qu'avec les implants conventionnels et ne permettraient pas leur utilisation dans des os de qualité inférieure.
De plus, les solutions traditionnelles de reconstruction ou de régénération montrent leurs limites quant à l'invasivité, à la morbidité des sites de prélèvements, à la durée et le suivi des interventions et par-dessus tout au manque de prédictibilité. D’un autre côté tous les principes de l’implantologie moderne sont basés sur une implantologie soustractive, c’est-à-dire que l’on supprime des tissus durs pour y placer des implants. Si ce concept peut rester acceptable dans les cas où les volumes tissulaires sont suffisants, il en est tout autre dans les nombreux cas d’atrophie. L'unique alternative resterait alors une gestion volumétrique différente de l'os résiduel. Il faut de ce fait respecter au maximum le peu de tissus restants ou fonctionnels voire même être en capacité d’optimiser ceux-ci. La question fondamentale serait alors : peut-on réellement obtenir une expansion osseuse ? En d'autres termes : peut-on raisonnablement modeler l'os tout en maintenant ses qualités biologiques et biomécaniques, peut-être même les améliorer ?
L'intérêt majeur de ce concept est que non seulement il permettrait d'éviter des interventions longues, complexes, coûteuses et sans réelle prédictibilité, mais il consentirait de traiter le patient immédiatement. Le traitement implantaire en serait drastiquement réduit en temps. Ce concept pourrait être étendu à l'application de la mise en charge immédiate car les caractéristiques biomécaniques de l'os sont améliorées. [C'est là où réside tout l'intérêt de l'utilisation des lasers grâce à leur sélectivité tissulaire, leur précision et donc mini-invasivité. Nous allons pouvoir de cette façon être très sélectif dans l'élimination de certains tissus mais en même temps avec plus de certitude de ne pas laisser d'autres tissus ou d'éléments contaminants pouvant perturber le processus de régénération par compétition cellulaire.] En fait, que se passe-t-il ?
L’implant est posé avec un couple d’insertion élevé en position infra-crestale avec une approche laser mini-invasive sans lambeau en sous dimensionnant les excisions tissulaires (tissus mous et tissus durs). En cas d’un implant post-extractionel immédiat, le débridement de l’alvéole infectée ou potentiellement contaminée s’effectuera à l’aide de lasers avec 2 longueurs d’ondes différentes. Le premier de la famille des Erbium, ablatif d’action superficielle permettant de vaporiser les tissus de granulation présents dans l’alvéole mais aussi par un scannage systématique de toute la surface de la “lamina dura“ qui contient les fibres de collagène et de Sharpey avec un haut potentiel de contamination. L’effet photo-acoustique de ce laser permettant en quelque sorte de nettoyer toutes les cavités de l’os trabéculaire mais en laissant intacte cette structure calcifiée. Le second de la famille des diodes dans les infra-rouges proches par un balayage de cette même alvéole assurant la décontamination des tissus en profondeur grâce à une pénétration.
Bien sûr le choix de l’implant est fondamental car uniquement un implant répondant à certaines caractéristiques telles que autotaraudant avec des spires agressives, un switching platform avec col inversé ainsi qu’une connexion prothétique hermétique sont autant de prérequis qui ne peuvent que donner un sens cohérent au protocole. Si nous pouvons appliquer ces principes aux protocoles d'implant post-extractionel immédiat en contrôlant la contamination ou l'infection et que les résultats à long terme sont au moins aussi bons qu'avec les protocoles classiques. Alors nous avons un concept qui mérite d'être considéré. L'utilisation du laser avec des techniques chirurgicales appropriées représente cet espoir.
Les Objectifs:
Release date: 2015-08-27 | Expiration date: 2018-08-27
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